Cote/Cotes extrêmes
Importance matérielle
Origine
Présentation du contenu
Les libéralités faites aux communes ou aux établissements de bienfaisance ne pouvaient être acceptées qu'après avis de la préfecture jusqu'au décret du 5 novembre 1926 qui reconnaît au conseil municipal le droit de statuer définitivement sur l'acceptation ou le refus des dons et legs.
Le cadre de classement de la sous-série est le suivant :
- documents généraux ;
- dons et legs hors du département ;
- dons et legs intercommunaux ;
- dons et legs communaux, dans l'ordre alphabétique des communes.
Trois indications sont fournies : le nom du ou des donateurs, le ou les bénéficiaires, la date du don.
Cote/Cotes extrêmes
Mode de classement
Par ordre alphabétique des noms des donateurs, légateurs.
Mots clés matières
Cote/Cotes extrêmes
Date
Présentation du contenu
PARJADIS Hortense : bureau de bienfaisance de Saint-Chamant, Ursulines d'Argentat (1866) ;
PREVOST Louis : fabrique de Sainte-Féréole, petit séminaire de Servières, cathédrale de Tulle (1897) ;
PRIOLEAU Jeanne Louise Fanny, épouse Roche Bernard Alexis : fabriques des églises de Vignols et Objat (1877) ;
ROUZEYROL Jean : séminaire de Tulle, petit séminaire de Servières, ursulines d'Argentat, église de Cornil (1896) ;
VALADE Marie Clémence : bureaux de bienfaisance et fabriques d'Auriac et Hautefage (1885) ;
TRAUX Léonarde, veuve Fieyre François : bureaux de bienfaisance d'Egletons et Saint-Hippolyte (1901) ;
VIGIER Jean : pauvres de Liourdres, Sioniac, Bilhac (1827).
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