4 - Ouvrages

Déplier tous les niveaux

Cote/Cotes extrêmes

4/1-2191

Au nom de la loi.

Cote/Cotes extrêmes

4/2186

Date

29/12/2020

Complément du titre

Gendarmes et policiers dans la Corrèze d'autrefois (1800-1914).

Mention de responsabilité

PAGEOT Pierre

Langue des unités documentaires

français

Lieu de publication, production et/ou distribution

Saint-Denis

Nom d’éditeur, producteur et/ou distributeur

Edilivre

Date de publication, production et/ou distribution

2021

Conditions d'accès

Communicable

Type de présentation matérielle et importance matérielle

281 p.

Dimensions et unité de dimensions

205 mm

Forme du contenu

Imprimé

Note de résumé

Dans la Corrèze du XIXe siècle, comme dans tous les autres départements, des policiers et des gendarmes eurent la lourde charge d'assurer la sécurité des personnes et des biens, de maintenir l'ordre public, de réprimer le non-respect de la loi, mais aussi d'étre des agents politiques au service du pouvoir en place. Seulement, dans ce département où une part importante de la population vivait à la campagne, où les villes étaient peu nombreuses et peu importantes, les effectifs des premiers furent toujours très inférieurs à ceux des seconds. Alors qu'entre le début de la période napoléonienne et l'éclatement de la Grande Guerre seules Tulle et Brive disposèrent, de manière permanente, d'un commissariat au personnel très restreint, chaque canton posséda, à partir du milieu du siècle, au moins une brigade de gendarmerie forte d'environ 5 à 6 hommes servant à pied ou à cheval. Qui étaient ces hommes qui avaient décidé de se mettre au service de la loi ?? Pourquoi avaient-ils choisi ce métier ?? Comment avaient-ils été recrutés ?? Quel était leur travail quotidien et comment étaient-ils perçus par les habitants ?? Telles sont quelques-unes des questions auxquelles tente de répondre cette étude relative à un sujet qui n'avait jusqu'à présent si peu intéressé les historiens que l'on peut dire que le passé de la police et de la gendarmerie dans le département de la Corrèze constituait jusqu'alors un champ d'étude quasiment vierge.