Cote/Cotes extrêmes
Importance matérielle
Origine
Présentation du contenu
Les libéralités faites aux communes ou aux établissements de bienfaisance ne pouvaient être acceptées qu'après avis de la préfecture jusqu'au décret du 5 novembre 1926 qui reconnaît au conseil municipal le droit de statuer définitivement sur l'acceptation ou le refus des dons et legs.
Le cadre de classement de la sous-série est le suivant :
- documents généraux ;
- dons et legs hors du département ;
- dons et legs intercommunaux ;
- dons et legs communaux, dans l'ordre alphabétique des communes.
Trois indications sont fournies : le nom du ou des donateurs, le ou les bénéficiaires, la date du don.
Cote/Cotes extrêmes
Mode de classement
Par ordre alphabétique des noms des donateurs, légateurs.
Mots clés matières
Cote/Cotes extrêmes
Date
Présentation du contenu
GARRELOU Pierre : bureaux de bienfaisance du canton de Saint-Privat (1886) ;
LACROIX de CASTRIES ( Geneviève de), veuve de Thémines Pierre Hugues Philippe : communes de Sainte-Marie-Lapanouze, Saint-Etienne-la-Geneste et Roche-le-Peyroux (1868, 1872) ;
LESPINASSE Cécile, épouse Dubois Dominique : fabriques d'Espagnac et de Gimel (1898) ;
MAZEL François : pauvres d'Aix et de Courteix, hospice d'Ussel (1821) ;
MENPONTEL Michel : hospice d'Ussel, pauvres de Lubersac, fabrique de la cathédrale de Tulle (1883) ;
MONTLOUIS Léonarde, veuve Antraigues : hospice d'Ussel, fabriques de Saint-Pardoux-le-Vieux et Saint-Exupéry (1866) .
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