Cote/Cotes extrêmes
Importance matérielle
Origine
Présentation du contenu
Les libéralités faites aux communes ou aux établissements de bienfaisance ne pouvaient être acceptées qu'après avis de la préfecture jusqu'au décret du 5 novembre 1926 qui reconnaît au conseil municipal le droit de statuer définitivement sur l'acceptation ou le refus des dons et legs.
Le cadre de classement de la sous-série est le suivant :
- documents généraux ;
- dons et legs hors du département ;
- dons et legs intercommunaux ;
- dons et legs communaux, dans l'ordre alphabétique des communes.
Trois indications sont fournies : le nom du ou des donateurs, le ou les bénéficiaires, la date du don.
Cote/Cotes extrêmes
Mots clés matières
Cote/Cotes extrêmes
Date
Présentation du contenu
Lissac-sur-Couze . - Crest Marie Valentine, veuve Sueur Joseph Frédéric : école communale (1913) ; Godin de Lépinay de Brusly Nicolas Joseph Adolphe : bureau de bienfaisance, fabrique (1897) ; Rebière Eliane, veuve Lacoste : bureau de bienfaisance, fabrique ; Rouchon Fanton Annet : pauvres (1912).
Lonzac (le) . - Bondet de la Bernardie de la Jugie François Firmin : fabrique (1883) ; Materre Jeanne Marie, veuve Faurie Isaac : fabrique (1898).
Lostanges . - Chapoulard Jeanne Mélanie, veuve Claval : pauvres (1906) ; Mauraud Joseph : fabrique (1850).
Louignac ; - Broussard Marie, veuve Loubignac Jean : fabrique (1899) .
Ce site utilise des cookies techniques nécessaires à son bon fonctionnement. Ils ne contiennent aucune donnée personnelle et sont exemptés de consentements (Article 82 de la loi Informatique et Libertés).
Vous pouvez consulter les conditions générales d’utilisation sur le lien ci-dessous.