• Vente, par le roi, acquéreur de la vicomté de Turenne , à Adrien-Maurice de Noailles, moyennant la somme de neuf mille livres, de la seigneurie de Lanteuil (1748).
• Bail pour six ans, moyennant la somme de quatre mille six cents livres, passé au profit de Julien Gaillard, marchand, de Saint-Céré, et de Pierre Ribayrols, notaire, des revenus de la terre et baronnie de Lentour-Mayrinhac, « située en Quercy, consistant en château, préclôtures, moulins, prés, marais, vignes, métairies, cens, rentes », etc. (1766).
• Etats de situation « des bâtiments, bois, domaines et des terres de Penières, Carbonières, Monclar, Chambres, Lentour, Malesse, Servières », etc. ; vérification faite en septembre, octobre et novembre 1771. Il n'y a ni bois, ni domaines, ni bâtiments dans le marquisat de Monclar ; le château de Chambres « a un besoin très urgent de réparations » ; le château de Lentour, « dont une partie sert de logement, de grenier, de grange à foin et d'écurie au métayer, et dont l'autre compose le fournial et le pressoir, est aujourd'hui en bon état au moyen de réparations qui y ont été faites en 1768, 69 et 70, aux frais de Mgr le duc » ; il n'y a, dans la châtellenie de Saint-Céré, «ny bâtiments, ny bois, ny domaines » ; « le château de Malesse n'est susceptible d'aucune réparation d'entretien ; il tombe tout à fait en
• ruine » ; le château de Servières demande un certain nombre de menus travaux ; lu porte d'entrée, qui est protégée par une tour, a besoin d'être refaite à neuf ; le château de Pénières-Carbonières « est en bon état ». « On n'a point parlé, dit en terminant l'auteur du mémoire, de quelques tours quarrées qui sont à Saint-Céré, à Merles et à Carbonières, autrefois les manoirs des seigneurs primitifs de ces terres, aujourd'hui inhabitées et sans aucun intérêt de réparations. Le seul qui puisse s'y trouver, surtout à Merles et à Carbonières, est de veiller à ce que les habitants des environs de ces deux endroits, qui sont à environ une lieue de Pénières, n'en tirent des pierres pour leurs réparations ou n'enlèvent celles qui peuvent tomber ou se démolir de vétusté. »
• Bail passé en faveur de Me Jean-François Cunet, notaire à Saint-Céré, pour une durée de neuf années et moyennant la somme de sept mille livres, des revenus de la terre de Mayrinhac-Lentour (1787).

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